Quelques années plus tard, Thérèse et Raymond Leroux font construire leur maison juste à côté de celle de leur fille « Nono » et de son mari Raymond Hougard. Dans le prolongement de cette nouvelle maison, toute une enfilade de bâtiments voit le jour depuis la rue jusqu’à la grève. Certaines de ces constructions (plateforme de tri et de conditionnement, bassin d’eau de mer, garage) servent à l’entreprise Hougard. Jusqu’au milieu des années 90 et la retraite de Raymond Hougard, la valse des chalands chargés de coquillages du traict (moules et coques essentiellement) alterne avec celle des camions frigorifiques qui livrent la marchandise dans toute la France. Après les décès des époux Leroux (fin des années 80) puis de Raymond Hougard (2005), les deux enfants Hougard se répartissent les deux maisons. Jean-Marc baptise sa maison « Yud an Avel » (le cri du vent en breton) et entreprend alors d’importants travaux de rénovation, en particulier au rez de chaussée qu’il destinera à la location saisonnière.
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